Pouvez vous présenter votre label succinctement ?
Slate.fr a été un des premiers médias hors radio en France à se lancer dans le podcast, avec Transfert – qui entamera sa quatrième saison à la rentrée. Depuis, on a multiplié les programmes, toujours avec un seul but : mieux faire entendre notre monde contemporain, entre récits personnels, confidences, enquêtes et débats. De l’intime à l’universel !
Êtes-vous satisfaits de votre saison 2018-2019 ?
Très ! C’est ma première saison à Slate (je suis arrivé en novembre), et quand je vois ce qu’on a accompli… Impossible de ne pas être satisfaits. On a publié notre premier podcast d’enquête, nos premiers talks-shows… On a jeté les bases pour que Slate Podcasts (http://www.slate.fr/podcasts/) grandisse, c’est bien parti. Et tous nos lancements ont été plutôt bien accueillis.
Quel a été le fait le plus marquant pour vous ?
Sortir un podcast titré « Caca sur les murs » ? Hahaha. En vrai, je pense que c’est l’accueil réservé à « Première & Dernière fois » de Lucile Bellan (d’ailleurs on va faire une saison 2 cet automne, il y a une vraie attente), la montée en puissance de « Mansplaining » de Thomas Messias, notre première incursion dans le podcast politique avec « Trump 2020″… Et le nombre incroyable de propositions que je reçois par semaine. Tout le monde semble avoir une idée de podcast à faire !
Qu’est ce que vous ne referez pas en 2019-2020 ?
Sortir tous les épisodes d’un podcast le même jour. Je crois que les auditeurs et les auditrices préfèrent vraiment le côté récurrent, l’attente de l’épisode suivant… |